samedi 16 octobre 2010

Il n’y pas de fumée sans feu

Pour chauffer la maison de la famille tambouille il y a un convecteur dans la chambre d’aîné Tambouille, 4kW de soufflant dans la salle de bain et surtout une cheminée, qui chauffe le salon, la cuisine et la mezzanine. La cheminée est donc l’élément essentiel de régulation de la température en période hivernale. 

La première année, la triple porte simple vitrage qui ne fermait pas était un tel aspirateur à chaleur qu’il nous fallait faire des flambées d’enfer pour espérer atteindre 17° dans le salon (tandis que la mezzanine culminait régulièrement à 35° voir 40°, ce qui nous avait obligés à installer un ventilateur au dessus de notre lit !).

La deuxième année, la mise en place du double vitrage avec une porte étanche nous avait grandement fait gagner en température. Le souci, c’est que l’arrivée d’air nécessaire à une bonne combustion n’était plus assurée. (Quelle idée, aussi de mettre une porte fermée !) Nous nous sommes donc régulièrement retrouvés enfumés.

Cette année, avec l’aide d'un grand-père Tambouille, nous avons percé un trou sous la cheminée, ce qui devrait assurer l’arrivée d’oxygène nécessaire. La première flambée ce week-end a en effet chauffé agréablement la maison, et ne nous a pas transformés en jambon fumé. Seule la gêne de surchauffe de la mezzanine persiste.

Alors j’hésite : est-ce que nous traitons ce problème dès cette année, ou bien est-ce qu’on laisse traîner jusqu’à l’année prochaine ? Je ne voudrais pas traumatiser la famille en upgradant d’un seul coup les conditions de vie dans notre maison quand même.

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