vendredi 29 avril 2011

Maman Tambouille traductrice BIBA/FAMILI

C’est les vacances, je profite de quelques minutes de tranquillité pour feuilleter BIBA et je tombe sur un article dont le titre m’interpelle :
« Le défi du mois : décocooner son couple. »
Alors rien que pour vous, voilà la version BIBA et mes adaptations pour FAMILI :

Cinq mois (ans ?) que tous les deux on est en mode hibernation zombi… Allez, on lâche la zapette les biberons, on tombe le pilou pilou et on se réveille.

1. On s’attaque au plus dur (soi-même). Notre challenge : tenir debout (et même assise) après 23h30 21h30. Un bail que, dès le générique (de fin) de « Top Chef » que les enfants sont couchés, on a les yeux qui se croisent, et la tête qui penche en arrière… Bref, pas couple friendly du tout et encore moins glamour. Seule solution : s’autoriser à s’affaler un soir cinq soirs (ou deux ou six d’accord) par semaine. Les autres soirs : on SE bouge, même pour faire un truc de rien du tout (de la pâte à crêpe ou une épilation du maillot un billet pour le blog). L’action, même en solo, est le début du réveil.

2. On passe au plus gros (lui). Et pour secouer le yéti, deux tactiques. Un le chantage : « Si tu lâches ta Wii, j’enfile une guêpière ! Si tu rentres du boulot avant 19h30, je t’attends pour dîner !» (mais après faut suivre…). Deux, la motivation : « Samedi, soirée « les amis de mes amis sont mes amis » à la maison. Samedi, après midi « Zoo » avec les enfants. Je m’occupe de tout, tu t’occupes du reste ? » L’idée : voir d’autres têtes que les nôtres et zapper les dîners goûters à 4 ou 6 (avec toujours les mêmes potes animaux).

3. On casse les habitudes. Pas besoin de partir dans de grands délires. Il suffit par exemple de changer de côté dans le lit ou de bouger les meubles de place (canapé à la place de la table) de rajouter une étagère dans la chambre des enfants pour perturber notre rythme et donc être amenés à se cogner (dans les meubles), à se parler, à se (re)toucher (voir étape 5).

4. On saute sur la moindre occasion (et sur lui). L’idée : répondre à ses initiatives, rien de sexuel (pour l’instant). Au lieu de lâcher un pfeueueuuuuu à ses « ça te dit, un tour à Leroy Merlin ? » on hurle : « Ouais, génial, j’ai plus de chevilles Molly » (ne vous inquiétez pas, il comprendra vous avez utilisé la dernière en fixant l’étagère de la chambre des enfants, faut suivre). Et on y va en famille. On le soutient dans son entrain en visant un effet boule de neige (sur nous aussi).

5. On se recouche. L’idée : retrouver (aussi) les joies du sexe repos. Un, on commence progressivement, par une soirée sans télé une demi-heure de massage (si, si) puis on passe aux jeux érotiques (« Ce soir, Scrabble mais uniquement avec des mots à caractère sexuel… ») mini grasses matinées (1 heure de gagnée grâce au DVD « minuscule ») et on enchaîne avec plus fou : dormir toute nue ou une partie de quick sexe méga sieste ou tout un week-end sans les enfants

vendredi 22 avril 2011

You play, sometimes you win, sometimes you loose

Aujourd’hui maman Tambouille a décidé de passer chez le suédois après le boulot pour acheter un nouveau meuble pour le salon. Elle réfléchit rapidement et décide d’utiliser pour ce faire la voiture de papa Tambouille, dans laquelle il est plus aisé de charger des colis encombrants (you win)
Maman Tambouille oublie de récupérer le système de navigation dans sa propre voiture. Il va falloir qu’elle se débrouille pour trouver la route jusque chez le suédois. (you loose)
Au bout d’un km, maman Tambouille jette un œil sur la jauge d’essence et s’aperçoit qu’il faut faire le plein de toute urgence. (you loose)
Hésitant rapidement à faire demi tour, elle décide de poursuivre jusqu’au prochain village, à 10km de là. (you play)
Maman Tambouille arrive sans encombre jusqu’à la station service. (you win)
Maman Tambouille rentre sa carte dans le lecteur, choisit son carburant, fait son code et vois s’inscrire sur l’écran : carte refusée ! (you loose)
Maman Tambouille s’en veut d’avoir choisit de poursuivre sa route au lieu de faire demi-tour. Sa carte aurait peut être été refusée à la station la plus proche de chez elle aussi, mais au moins elle aurait pu facilement retourner à la maison emprunter la carte de papa Tambouille alors que là, elle est plutôt coincée. (you loose)
Maman Tambouille décide de retenter sa chance et réintroduit sa carte dans le lecteur.  (you play again)
Carte acceptée ! Maman Tambouille peut remplir son réservoir et continuer sa route ! (you win)

mercredi 20 avril 2011

Sevrage de nuit. Contre mode d'emploi

Situation numéro 1.
L'enfant a 10 mois, c'est un grand tétouilleur et un petit dormeur. Il s’endort essentiellement au sein et sa maman ne travaille pas. Elle est pleine de certitudes quant à la gestion du sommeil de son enfant et a décidé qu'elle ne le laisserait pas pleurer tout seul. En 10 mois, l'enfant a du faire une dizaine de nuits (et j'entends par là la définition scientifique de la chose : il a dormi au moins 5 heures d'affilé entre 20h et 8h du matin). Alors oui même si la maman est toujours persuadée qu'elle agit de la bonne façon et qu'un jour son fils dormira sans elle et sans pleurer, il y a des soirs où elle craque et elle se plaint à son mari. Celui-ci, pour l'aider, lui propose d'essayer de sevrer l'enfant des tétés de nuit.  C'est logique : l'enfant s'endort au sein, et donc à chaque micro-réveil entre chaque cycle, il cherche à nouveau le contact du sein et la chaleur du lait. Le premier soir, la maman interrompt la tété avant que l'enfant s'endorme et elle le berce ensuite jusqu'à ce qu'il rejoigne les bras de Morphée elle n'en puisse plus de l'entendre hurler et qu'elle lui redonne le sein. Le deuxième soir, la maman interrompt la tété avant que l'enfant s'endorme et elle le berce ensuite jusqu'à ce qu'il s'écroule d'épuisement. Elle va se coucher à son tour, la mort dans l'âme, persuadé qu'elle est en train de trahir ses convictions. 20 minutes plus tard, le petit a repris assez de force pour pouvoir hurler 2 heures de plus dans les bras de sa mère qui finit par craquer et lui redonner à téter. Le troisième soir, l'enfant semble s'être fait une raison et s'endort calmement après 10 minutes de berceuse. La mère rejoint son mari au salon et tente de reconnaître qu'il avait raison, que probablement les nuits seront meilleures si l'enfant ne tête pas. 20 minutes plus tard, l'enfant a repris assez de force pour pouvoir hurler jusqu'à ce que sa mère hurle à son tour sur son mari imbécile qui a proposé une solution qui empire le problème et décide d'arrêter illico cette histoire de sevrage de nuit. L'enfant s'endort à nouveau chaque soir en tétant, puis la mère va se coucher dans son lit, et 3 heures plus tard, lorsque l'enfant l'appelle, elle quitte le lit conjugal et s'installe pour une grande tété endormie avec son fils. Cette situation durera encore quelques mois, puis les tétés s'espaceront et à la naissance de sa sœur 18 mois plus tard, l'enfant ne se réveillera en moyenne qu'une à 2 fois par nuit, pour des tétés éclair de 5 minutes maxi.

Situation numéro 2.
L'enfant a 3 ans passé, il a une petite sœur d'un an à peine. Il s'endort souvent sans téter le soir, réclame et obtient le sein 1 à 2 fois par nuit et se rendort sans problème. Sa petite sœur fait de même, à des horaires différents. Comme la maman travaille à plein temps, ces 4 réveils commencent à la fatiguer sérieusement. Alors profitant d'une semaine de vacances, la maman décide de sevrer son aîné des tétés de nuit. Elle en parle avec lui, lui explique les nouvelles règles et prévient les amis chez qui ils passent quelques jours qu'il risque d'y avoir quelques remous nocturnes. La première nuit, l'enfant se réveille et réclame gentiment le sein, comme à son habitude. La mère lui rappelle que les tétés de nuits sont terminées pour lui, qu'il pourra téter quand il fera jour. L'enfant hurle : "JE VEUX TETER !" plusieurs fois dans les bras de sa mère, puis il sanglote pendant de longues minutes et se rendort. La nuit suivante se passe de la même façon : grande colère et longue tristesse. Dès la 3ème nuit, les hurlements et la colère cessent. L'enfant pleure à chaque fois que sa mère lui refuse le sein, mais elle lui promet qu'il pourra à nouveau téter dès qu'il fera jour et il se rendort. L'enfant manifeste sa tristesse pendant encore plusieurs semaines, mais petit à petit il accepte les nouvelles règles. Le processus de deuil arrive à son terme et l'enfant se réveille de moins en moins souvent.

Situation numéro 3 :
L'enfant a 18 mois, c'est une téteuse rapide et une dormeuse dans la norme. Elle s’endort souvent sans téter, et a un grand frère de bientôt 4 ans, avec qui elle partage certaines tétés de jour. La nuit, elle profite de sa maman rien que pour elle. Elle a "fait ses nuits" et même celles de sa mère dès 3 semaines, mais a arrêté dès que sa mère a repris son travail. Depuis elle se réveille 2 fois : à minuit et demi et à 4 heure, pour partager une tété de 5 à 10 minutes, lâche le sein, pousse un grand soupir de soulagement et se rendort. Ces réveils réguliers ne gène pas du tout la mère qui a pris le rythme et allaite dans un demi sommeil avant de se rendormir rapidement. L'enfant vient d'être gardée pendant 1 semaine chez ses grands-parents et après 3 nuits un peu difficiles elle a dormi quelques nuits complètes. La mère se dit que c'est l'occasion et décide de tenter un sevrage de nuit. La première nuit se passe sans problème, la mère ne se réveille pas. La seconde nuit, l'enfant s'agite dans son lit, appelle gentiment sa mère. Celle-ci fait d'abord mine de ne rien entendre, puis se sent obligée de se lever lorsque le volume sonore augmente. Elle tente de raisonner son enfant, lui parle doucement et lui explique qu'elle pourra téter quand il fera jour mais celle-ci ne veut rien entendre.  Les chouinements deviennent pleurs, les pleurs deviennent cris, les cris hurlements et la mère fait cesser ce tintamarre avant qu'il ne réveille toute la maisonnée en offrant son sein à sa fille qui l'agrippe en hoquetant. Le jour suivant, la mère réexplique à sa fille qu'elle souhaite supprimer les tétés de nuit. Les nuits suivantes, la maman ne donne pas le sein à sa fille mais se trouve contrainte à la bercer et à la promener 3 à 4 heures par nuit afin qu'elle ne hurle pas et ne réveille pas toute la maisonnée. Au bout de 10 jours, la mère épuisée de passer ses nuits à se promener dans sa maison au lieu de dormir revient sur sa décision et donne à nouveau le sein à son enfant, dès qu'elle le réclame. Bientôt, l'enfant reprend le rythme précédent, réclame et obtient dans un demi sommeil le sein 2 fois par nuit et la mère peut à nouveau se reposer.

Situation numéro 4 :
L’enfant a 2 ans. Elle se réveille toujours 1 à 2 fois par nuit pour réclamer le sein et sa mère le lui donne avec plaisir, à moitié endormie. Si cela ne tenait qu’à elle, cette situation perdurerait encore longtemps mais l’entourage se fait de plus en plus pressant. En particulier, les grands parents qui gardent les enfants à l’occasion des vacances scolaires (merci merci merci !) commencent à se plaindre de la fatigue accumulée, car eux ils n’ont pas la possibilité d’allaiter dans un demi-sommeil et de se rendormir illico. La mère entame donc le processus de sevrage des tétés de nuit de l’enfant. Elle explique les nouvelles règles et prévient la maisonnée qu’il risque d’y avoir quelques remous nocturnes. L’enfant acquiesce et s’endort paisiblement. Dès la première nuit, elle met en place un fonctionnement qui dure encore aujourd’hui, 7 semaines plus tard :
Elle se réveille 1 à 2 fois par nuit (comme avant) et réclame gentiment à téter (comme avant). Sa mère lui rappelle qu’il n’y a pas de tété la nuit. Eventuellement si c’est le 3ème réveil de la nuit, l’enfant insiste et s’il est proche de 6 H du matin, la mère cède, sinon l’enfant change de tactique et réclame
- Do ?
- Voilà de l’eau ma fille, ça tombe bien j’avais préparé un biberon à proximité.
- Zou ?
- Un bisous ? Le voilà
- Nan (rigole). Pas maman, Zou papa
- Ah ben non ma fille, on va pas aller réveiller papa pour qu’il te fasse un bisou, c’est l’heure de dormir maintenant.
- Zou né ?
- Tu n’auras pas non plus de bisou d’ainé Tambouille. Il dort (lui).
- Do ?
- Encore de l’eau ? voilà.
- Ohhh… Pu do….
- Tu as fini le biberon.
- Enco.
- Allez viens, on va le remplir. Mais après ça suffit, tu retournes dans ton lit et tu fais dodo
- viiiiii
La mère et la fille descendent les escaliers, remplissent le biberon et remontent.
La mère pose l’enfant dans son lit et entends :
- caca.
- Non, tu n’as pas fait caca.
- pipi, ette
Dans un soupir, la mère se résigne
- Ok, ok, on va faire pipi dans les toilettes. Mais après ca suffit, tu retournes dans ton lit et tu dors, je suis fatiguée moi.
La mère et la fille descendent les escaliers, font ce qu’il faut (a-y-est ! papier. enco papier. enco papier. Ca suffit le papier maintenant pepette. Pas couche. Oh si couche ma fille)
- Zou né ?
-J’ai dis non pour le bisou d’ainé Tambouille. Il dort. Regarde : c’est la nuit, tout le monde dort.
- Chat !
- Ah, oui c’est vrai, le chat ne dort pas.
- tété ?
- Bien tenté mais c’est toujours non. La tété c’est demain matin.
L’enfant est recouché dans son lit
- bébé ?
- Voilà ta poupée
- bébé ?
- Voilà la poupée de l’autre côté
- bébé ?
- Tiens, elle est là la mini poupée, je te la mets dans la main
- fone ?
- euh… attends je cherche
- fooonnnne
- voilà, le téléphone est là.
- doudou ?
- le doudou, tu l’as dans la main
- doudou bébé !
- ah pardon, le doudou c’est pour le bébé (OMG !!!)
- ette. fraaa
- oui oui, je sais, je vous borde tous. Bonne nuit bébé 1, bonne nuit bébé 2, bonne nuit le doudou et le téléphone, bonne nuit cadette.
- zou maman
- Voilà ton bisou ma belle. Bonne nuit.
Et la mère peut enfin se recoucher et se rendormir (si l’enfant ne laisse pas tomber la mini poupée ou le téléphone et qu’elle ne réclame pas encore un bisou).
Au bout de 7 semaines, la mère est épuisée. Parfois elle se demande pourquoi elle a troqué 2 demi-réveils de 5 minutes contre 2 réveils complets de 20 minutes par nuit mais elle tient bon encore parce qu’elle comprend complètement la difficulté des grands parents Tambouille et qu’elle se dit que de toute façon le temps finira par faire son œuvre et que cadette Tambouille se réveillera de moins en moins, quoi qu’il arrive. Et même dans quelques années, elle regrettera ces moments de complicité nocturne.

jeudi 14 avril 2011

un an déjà

Un an déjà que j’ai commencé à écrire pour ce blog. La présentation de l’année dernière est dépassée, alors pour fêter cet anniversaire, voilà quelques mises à jour.

- Papa Tambouille a arrêté de fumer. Il a aussi acheté une nouvelle moto. Il travaille toujours autant et continue de chercher des solutions pour pouvoir passer plus de temps avec sa famille. Il cuisine de mieux en mieux, reviens de ces voyages et de ses sorties avec de nouvelles idées, apprécie d’utiliser des ustensiles de qualité et se charge régulièrement des repas du week-end.
- Maman Tambouille a réorganisé le temps passé à vaquer aux occupations ménagères quotidiennes : elle ne cuisine plus les soirs de semaine (parfois au grand désespoir de papa Tambouille) et ne travaille plus le mercredi, ce qui a libéré un peu de temps le soir et le week-end. Elle a fait de l’aquagym puis a arrêté mais compte bien reprendre dès que l’emploi du temps de papa Tambouille sera un peu moins chargé.
- Ainé Tambouille a eu 4 ans. Il fait du judo, du vélo et va à l’école toute la journée. Il aime beaucoup qu’on lui lise des histoires, et s’amuse à reconnaitre les lettres et même à deviner certains mots. Il aime toujours participer aux activités de ses parents, jouer avec sa sœur et aussi lui en faire voir de toutes les couleurs.
- Cadette Tambouille a eu 2 ans. Elle parle beaucoup et se fait comprendre de plus en plus souvent. Elle est allée se faire recoller le front aux urgences après une chute depuis le canapé. Elle materne nombre de poupées, poupons et doudous qu’elle stock aux quatre coins de la maison (et du jardin et de la voiture). Elle aime participer aux activités de ses parents, jouer avec son frère et aussi lui en faire voir de toutes les couleurs.
- La famille a investit dans un aspirateur automatique et l’utilise régulièrement. La propreté générale de la maison s’est améliorée (même si maman Tambouille a parfois du mal à le reconnaitre) et le jardin est presque praticable.
- Une entrée d’air a été percée pour alimenter la cheminée, des rideaux ont été astucieusement posés et la famille Tambouille a pu passer l’hiver au chaud et presque pas enfumée.
- Les canalisations d’eau ont été isolées et papa Tambouille n’a du sortir dans le froid qu’une seule fois cette saison.
- Bien évidement papa et maman Tambouille continuent la tambouille, et de courir après le temps depuis qu’ils ont des enfants, un travail passionnant et une maison avec jardin (et quelques travaux à faire).

vendredi 1 avril 2011

Je ne suis même pas désolée

Oui je sais, le blog est un peu à l'abandon.
Oui je sais, je triche en anté-datant certains posts (en fait je les ai vraiment écrits à ces dates là, je n'ai juste pas pris le temps de les publier)
Oui je sais que j'avais promis d'essayer et que je n'ai même pas tenu 2 mois.

Et ben je suis même pas désolée.
D'abord parce que voici 3 posts tout neufs ante-datés
Ensuite parce qu'après 10 jours de super maman tolérance 0 pendant que papa Tambouille était de l'autre côté de la terre, 3 semaines de présence très pointillée  de papa Tambouille pour cause d'emploi du temps complètement surchargé, en parallèle avec 5 semaines de sevrage des tétés de nuit de cadette Tambouille (j'essayerais de vous raconter ça un jour peut être), ben en fait je suis complètement rétamée, et je vais me coucher en même temps que les enfants. Hier je me suis même endormie pendant le câlin d'ainé Tambouille, et pendant que je dormais, il a rangé sa chambre !!!

Et enfin, avec un temps pareil, je passe beaucoup de temps dans le jardin avec les enfants. Nous avons planté des bulbes, nous avons désherbé, nous avons arraché la menthe qui envahit tout, nous avons retourné la terre et planté les herbes aromatique, nous avons fait quelques semis de persil et tomates et préparé le bac qui recevra les géraniums.

Prochain post à venir : l'anniversaire de cadette Tambouille (avis à ceux qui ont pris des photos, pouvez-vous me les envoyer svp ?)